De : kovik4 (Message d'origine) Envoyé : 13/04/2008 22:42
Il posa son bras sur son épaule, la guidant vers la demeure.
Une fois à l’intérieur il lui demanda, « Tu veux boire quelque choses ? »
- Oui, je prendrai volontiers un verre de vin blanc.
Elle s’installa dans le divan de cuir grenat tandis qu’il était à la cuisine.
Il réapparu avec deux verres, lui présenta l’un et posa l’autre sur la table basse.
- Je vais passer un short, j’en ai pour deux minutes.
- Non ! Je t’en prie reste nu ! J’adore la nudité de ton corps, j’aime surtout tes grosses fesses rondes, elles me captivent.
Il s’installa dans un fauteuil face à elle, prit son verre tout en disant, « si nous portions un toast à notre rencontre ».
- C’est une charmante idée ! Tchin-tchin…
Maurice ! Notre relation tu là vois comment… comme une histoire de sexe entre deux adultes ? Où …
- Moi je sais comment je la vois Maude ! Mais je ne veux en aucun cas te forcer la main. J’ai vécu un amour malheureux et je ne veux plus souffrir par amour.
Il quitta son fauteuil pour venir se lover contre Maude, laissant une main se tracer un chemin dans l’échancrure du peignoir, il caressait ses seins tout en l’embrassant dans le cou tandis que de l’autre main il dénouait la ceinture d’éponge.
Elle savait combien il la désirait, et elle savourait ce trouble sensuel qu’elle provoquait en lui, sans pour autant lui avouer que ce trouble était réciproque, elle était sous le charme de son amant.
De petits gestes très adroits et délicats, il lui ôta son peignoir pour laisser ce corps nu extasier son regard.
- Comme tu es belle ma Maude, comme je te désir et bien plus que tu ne l’imagines. Je ne suis qu’un gros bonhomme plus très jeune, que puis-je espérer d’une femme belle comme toi ! Si ce n’est qu’un court moment de bonheur.
- Maurice ! Ne dis pas ces sottises, ce qui me plait c’est toi ! Ton physique me charme, si non pourquoi serais-je là ? Je ne veux pas d’un homme jeune ! J’aime ta corpulence, tes rondeurs, tes cheveux gris sans oublier ce ventre lourd qui me cache parfois cette virilité qui vibre pour moi.
Maude face à tant de sincérité ne put résister à l’envie de lui prouver qu’elle l’aimait pour lui, tel quel, de ses mains elle enserra son visage déposant ses lèvres sur les siennes pour se fondre dans un baiser délirant.
Leurs langues gourmandes dégustaient la volupté de cette fouille charnelle.
Dans cette fusion harmonieuse de leur corps nus ondulant sous les caresses, Maurice survolté par l’intensité des baisers et des caresses de sa partenaire avait reprit les armes et son glaive ne demandant qu’a livrer combat.
Qu’il était beau ce preux chevalier dans son armure de chaire livrant bataille dans cette joute sous la bannière de l’amour.
Maude avait prit possession de lame de ce glorieux guerrier qui grimaçait de plaisir de ce doux supplice, son corps se mouvait dans l’arène de sa jouissance.
Il ne voulait pas encore rendre les armes, ce corps à corps ne pouvait déjà prendre fin car il joutait pour honorer sa belle, celle qui avait conquit son cœur et qui maintenant l’anéantissait dans le plaisir charnel.